Dernière mise à jour 20 novembre 2024 10:31
Le syndicat a naturellement évolué au fil des années en fonction de divers facteurs
– il a étendu son champ de recrutement aux préfectures d’Algérie et des départements d’Outre-mer.
– pendant une certaine période, il a également accueilli les contrôleurs d’aide sociale regroupés en sections professionnelles avant de rejoindre un syndicat des D.D.A.S.S.
Avant la création de ce dernier syndicat, les fonctionnaires de préfecture mis à la disposition des D.D.A.S.S. s’étaient d’ailleurs regroupés a l’intérieur de notre syndicat pour constituer une section représentative envoyant 6 membres élus au conseil syndical national dont, en 1966, l’effectif avait été porté pour la circonstance a 21 membres. Cette situation a pris fin d’ailleurs lors, du congrès de 1968, le nombre des conseillers syndicaux nationaux ayant été ramené à 15.
– la décentralisation administrative intervenue en 1982 a amené le syndicat à devenir le représentant des personnels des administrations départementales et régionales en attendant la mise en place dans chaque département et dans chaque région d’un véritable syndicat affilié à la Fédération des personnels des services, des départements et des régions (F.P.S.D.R.).
De ce fait, le congrès de Contrexéville en 1984 devait décider que le conseil syndical sur un effectif de 21 membres ne devait pas compter en son sein moins de 8 membres choisis par les agents départementaux et régionaux.
– la structure du conseil syndical national fut encore modifiée en 1986 lors du congrès de Toulouse. Son effectif de 25 membres devait comprendre :
a) 12 membres élus parmi les fonctionnaires et agents exerçant en préfecture ;
b) 12 membres élus parmi les fonctionnaires et agents exerçant dans les services des départements et des régions ;
c) 1 membre élu parmi les retraités.
– cette adaptation des structures ne pouvait qu’être provisoire. C’est pourquoi en 1988, le congrès de Dijon s’est prononcé pour la création de syndicats dans les services des départements et des régions, les uns et les autres étaient affiliés a la F.P.S.D.R.. Cette décision a été confirmée par le congrès de Limoges en 1990 qui, de plus, a créé la section nationale des retraités.
– Ramené a son effectif normal de 15 membres puis à 17, le conseil syndical national devait être désormais complété avec voix consultative par le président de la section nationale des retraités et éventuellement par les conseillers syndicaux appelés au cours de leur mandat à exercer des fonctions de permanent au secrétariat de la F.A.G.E., de la F.G.F. ou de la Confédération.
Vous êtes actuellement hors ligne